La revue  » Sciences Humaines »  traite dans son N°290 ( Mars 2017 disponible à la bibliothèque ou chez votre marchand de journaux) de l’épuisement professionnel, du burn-out, qui touche de plus en plus d’agents aussi à Mazurelle.

Cette question prend toute sa place dans l’actualité : Le burn-out sera-t-il reconnu comme maladie professionnelle et indemnisé comme telle ?

Mais qu’est ce que le burnout ?

Définition : il s’agit d’ « un syndrome associant un épuisement émotionnel et physique, la déshumanisation de la relation aux êtres et aux activités humaines, et une baisse, voire une disparition, du sentiment d’accomplissement personnel, en réponse à une situation chroniquement stressante ».

 

Quels en sont les symptômes ?

 » ils sont d’ordre affectif, cognitif, physique, comportemental ou motivationnel. Ils s’expriment au niveau individuel, relationnel et organisationnel. L’hyperactivité, les heures supplémentaires, le sentiment de ne pas avoir le temps, d’être indispensable, de ne pas pouvoir marquer de coupure, le sentiment d’invulnérabilité… conduisent à un épuisement physique et émotionnel…….. »

« Une autre dimension se traduit par le  désinvestissement, ……Il y a aussi la détresse psychologique….., l’irritabilité, l’appauvrissement émotionnel, auto dépréciation…., la consommation de psychostimulants….. ».

Cet article relève aussi que « les deux premières années d’expérience professionnelle sont assez constamment considérées comme les plus à risque, provoquant alors le souhait de quitter le métier ».

Les membres CGT du CHSCT s’implique pleinement au sujet du burn-out, et ont participé à la rédaction du tract CHSCT

Si vous souhaitez vous situer sur la question du burn-out, il existe le test de Maslach. Mais surtout parlez en …..

Malheureusement, le CH Georges Mazurelle n’est pas exempt de situations de burn-out, souvent sous-estimées ou reléguées simplement à des fragilités personnelles…